Jordan Vauvert
Gwoid I-III était comparable à une ceinture d'astéroïdes, les morceaux de tailles variables s'accumulant pour nous faire goûter au chaos cosmique dans toute sa violence. Gwoid IV-VI, c'est la matière noire, invisible mais dense. L'objectif de Gwoid est le même qu'avant — invoquer un raw black metal spatial et bruitiste — mais la démarche est aux antipodes : les pistes sont très longues, répétitives jusqu'à la transe occulte et particulièrement hostiles. Un cauchemar aux confins.
Irrespirable.
Favorite track: Gwoid VI - Aurora Borealis.